Quel a été votre marathon préféré que vous avez accompli ? Qu’est-ce qui l’a rendu si spécial ? Était-ce le premier que vous avez couru ? Était-ce le parcours et les spectateurs ? Avez-vous couru un record personnel ? Quelles étaient les conditions de course ? Partagez une histoire d’un de vos marathons afin de rendre accessible aux débutants certaines informations concernant des expériences qui pourraient leur servir. Et ne soyez pas timide, c’est le moment de vous vanter !
Vous pouvez également parler de demi-marathons, car un demi peut être un exploit formidable pour quelqu’un qui est parti de loin.
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Le point tournant d’une vie
J’ai décidé de courir marathon pour plusieurs raisons, mais la première était que je n’avais jamais accompli quelque de grandiose jusqu’au bout dans ma vie. Avec un passé d’obésité et une dépendance aux drogues et à l’alcool, j’ai compris que je devais faire quelque chose pour ma santé, autant physique que psychologique.
– Grandmorse
La course post-partum
J’ai recommencé à courir 3 semaines post-partum et j’ai eu un entraîneur privé qui s’ai chargé de mon programme a chaque 2 mois je m’entraînais 3 fois par semaine et je courais une longe course par semaine.
– Claudia
J’ai voulu me faire mal
Je me levais tôt le matin ou me couchais tard le soir. J’ai trop tiré, j’ai très mal géré mes douleurs et sous estimé le besoin de repos.
– Floflo
De la souffrance, mais le terminer
Pour Paris, c’est toujours très dure les 12 semaines d’entrainement car il faut débuter janvier il te faut affronter le vent, la pluie, la neige et le froid, en plus de courir seul et d’avoir 64 ans, donc je dois faire attention aux chutes.
– Keller Gilbert
Il n’y a pas d’âge pour courir
D’abord un demi puis un marathon au Luxembourg en 2011. Jamais plus, c’était très dur. 4 mois après j’ai fait mon 2e à Metz en octobre. En 2012 mon 3e à Paris et je me suis blessé. 6 mois d’arrêt.
– Rellekil
Un défi pour être fière de soi
Il me semble n’avoir jamais rien osé. C’est le temps ou jamais. Qu’importe si c’est pénible, je veux aller au bout de moi-même, voir de quoi je suis capable, pousser mes limites comme jamais. Un autre marathon plus tard ? Peut-être. Je dédie celui-là à mes parents décédés.
– Céline
Marathon à 40 degrés Celsius
se fixer des objectifs aide à maintenir l’entraînement et la motivation.
Aussi, se donner un défi physique et psychologique qui aide à voir tout le potentiel que l’on ignore souvent, mais que l’on a.
– Héro Vermeille
Rétroliens/Pings